A ceux qui s’inquiétaient (ou pas), nous sommes toujours là. Mais nous avons effectivement pris du retard sur le blog, que nous essayons de combler en prolongeant les soirées. Donc reprenons: nous étions à Istanbul, une ville qui nous a vraiment séduits.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin et nous quittons Istanbul à regret, mais nous avons rendez-vous à Iznik, pas question de reporter.
Après un dernier petit-déjeuner sur la terrasse face au Bosphore, nous suivons Hakan, notre hôte, qui nous guide en moto jusqu’à l’embarcadère de Yenikapi pour prendre le ferry qui nous emmène à Yalova, de l’autre côté du Bosphore. Nous évitons ainsi la sortie laborieuse de Istanbul par la route. Après Iznik, nous filons par les petites routes vers la mer noire, au travers d’une campagne vallonnée voire montagneuse, et très verdoyante.
La route est belle, en bon état, très bien fléchée. Heureusement car notre logiciel de planification d’itinéraire qui permet de programmer nos trajets sur le GPS est en panne ! Nous naviguons donc à l’ancienne: carte papier, vigilance, et quelques demi-tours …
Iznik
Oui, nous avons rendez-vous à Iznik avec Kadir et son épouse. Kadir est membre du groupe de musique folklorique Mehter de Iznik. Jo a fait sa connaissance en France quand son groupe est venu participer au carnaval de Chalon/Saône.
Et bien nous avons découvert ce que signifie l’hospitalité turque ! Nous avons été reçus admirablement, et n’avons pas eu le droit de payer la moindre Lira (la monnaie turque) ! Ils nous ont fait visiter cette belle petite ville et ses environs, puis nous avons dîné au bord du lac. Très belle journée ! Et ils nous ont de nouveau invités à boire le café chez eux le lendemain matin avant notre départ. Merci à vous deux !
La route de la mer noire
Depuis Istanbul, nous n’avons pas croisé un seul touriste occidental, et pas un motard ! Nous sommes du coup un peu l’attraction partout où nous nous arrêtons. Et la gentillesse des turcs se confirme tous les jours. Dernier exemple: j’ai oublié ma clef sur la moto dans le village de Tarakli. Un commerçant l’a attachée à notre sacoche et nous a averti à notre retour. Sympa, non ?
Nous arrivons à Bolu, ville sans charme, pour y passer la nuit avant de rejoindre la côte de la mer noire. A suivre.
Salut les bikers ! Wouahou … jolie visite qui m’a bien plu ! Cette route turque vers la mer Noire a beaucoup de charme et visiblement, les turcs sont toujours aussi attachants et prévenants ! Bonne route vers la côte de la mer Noire ! Plein de bisous de nous deux vers vous deux !
Enfin des nouvelles! quel bonheur de reprendre la route avec vous continuez
à nous faire rêver.
Bise
Merci pour cette nouvelle balade !!